Vendredi dernier, j’ai participé au rassemblement aux côtés d’anciens combattants, de syndicalistes, et de militants, venus rendre hommage à Pierre SEMARD, secrétaire général de la CGT des cheminots, fusillé par les nazis en mars 1942.
A cette occasion j’ai rappelé l’émotion qui devait être la nôtre face à ce sacrifice et le devoir de transmission que nous devions faire aux nouvelles générations de ce message de résistance. Les libertés acquises le sont toujours de façon provisoire et peuvent toujours être remises en cause comme le montre notre époque. J’ai ajouté « « Ne soyons pas pessimistes mais pragmatiques, il nous faut continuer le combat ».