
Dimanche les Européens et nous citoyens Français sommes appelés à voter pour le Parlement européen.
L’Europe c’est malgré des insuffisances et pour ne citer que quelques exemples plus de droits aux consommateurs (des produits plus sûrs, des achats plus sécurisés sur le net€¦), la lutte contre le dumping social (moins d’emplois mal payés concurrençant les salariés français) ou encore la mobilité des jeunes ( 300 000 jeunes français qui aidés partent dans un autre pays européens)
Je souhaite une majorité au Parlement et un Président de commission qui donne priorité à l’emploi des jeunes, à la lutte contre la fraude fiscale et à la spéculation et qui mise sur les énergies renouvelables.
Je souhaite une Europe qui fasse ce que nous ne pouvons faire seuls car tous les pays doivent être impliqués et le faire ensemble
Changeons l’Europe pour nous aider à changer notre pays
Dimanche je voterai, en votant socialiste et social-démocrate, pour Martin SCHULZT, candidat de gauche et progressiste et ses nouvelles orientations.
Marietta KARAMANLI en compagnie de Martin SCHULTZ actuel Président du Parlement Européen et Claude BARTOLONE, Président de l’Assemblée Nationale Française
Un changement à la tête de la Commission Européenne est possible dimanche 25 mai 2014
La Commission européenne est politiquement indépendante des gouvernements nationaux ; elle représente et défend les intérêts de l’UE dans son ensemble.
Elle est composée de 28 commissaires, soit 1 par État membre. Une nouvelle Commission est désignée tous les cinq ans, dans les six mois qui suivent les élections du Parlement européen.
Selon le système institué par le traité de Maastricht de 1992, le candidat à la présidence est désigné d’un commun accord par les chefs d’Etat et de gouvernement. Le Parlement européen doit ensuite approuver cette nomination.
José Manuel Barroso avait été désigné par le Conseil en juin 2009, avant d’obtenir un vote positif du Parlement le 9 février 2010.
Le Traité de Lisbonne modifie le mode de désignation du président de la Commission, en renforçant le poids du Parlement européen dans le processus.
Après mai 2014, les chefs d’Etat et de gouvernement proposeront pour la première fois au Parlement européen un candidat à la présidence de la Commission, « en tenant compte des élections au Parlement européen ». Le candidat devra ensuite être approuvé par le Parlement européen à la majorité des membres qui le composent (soit 376 députés sur 751).